Pour te remercier de nous avoir fait ce si joli bébé, Pensez dont, le tout premier petit PAILLER, Pour te montrer Stéphanie que l’on t’aime, Nous t’avons avec Nicolle composé ce poème ….
Pour être mère à Méré, il faut être très sage, Et toi, on peut dire que tu as réussi ton … aMérissage ; En arrivant, tu avais déjà une adorable Manon, Et voilà que maintenant, tu nous fais ce petit garçon ….
Ce petit garçon, puisqu’il se prénomme Maxou, Il va nous obliger à rebaptiser le village, Mérou ; Etre mère à Mérou, la rime ne sera guère plus facile, Même si le village demeure toujours aussi tranquille….
Maxime, tu seras grand et fort et à l’Ecole toujours premier, Dans la basse-cour, au milieu de tes cousines, tu aimeras pérorer, Si tu ressens des difficultés en espagnol, vers ta maman tu te dirigeras, Pour les sciences économiques, vers ton papa tu te tourneras….
Mamie, mamie, comme le temps passe ; Voilà que dans la côte des Ménuls, mon petit-fils me dépasse ; Il me regarde avec affection : “Papi, il faut que tu t’accroches, Sinon, je serai le premier à l’arrivée à Bazoches !”
Papi, papi, comme le temps passe ; Est-ce mon petit fils qui dans l’avenue me dépasse ? D’un pas rapide, cartable à la main, il va à la Faculté, D’une très jolie jeune fille, il est accompagné : tu crois qu’il va se marier ?
C’est merveilleux d’être mère à Méré, Et toi Stéphanie, grâce à Vincent, tu y es arrivée !
D’une grande sœur et d’un frère aîné, Romain est le petit dernier, le puiné, Tranquillement arrivé dans sa maison de Méré, Où son père, fier de son trophée, a décidé d’en faire un guerrier !
Au foot, toujours bien placé, Au tennis, toujours bien classé, A l’école, toujours premier, Et, avec les filles, jamais dernier !
Ils avaient quatre adorables petites filles, Mais, ils souhaitaient avoir un garçon. Alors, Jean a très astucieusement mangé des myrtilles Et, pour le reste, le Bon Dieu leur a donné sa bénédiction.
Mais, avant que de vous parler du petit Gabriel, Je voudrais vous présenter les sœurs, ces toutes belles, Et aussi, bien sûr, remercier Jean et Marie De nous avoir conviés, aussi nombreux, en ce samedi.
Le lundi, Mathilde qui est leur fille aînée, Sac au dos, va vers Saint Thomas, bien reposée ; Elle marche, très droite, consciente de ses responsabilités, Car, elle sait que les grandes Ecoles, c’est au CP qu’il faut les préparer !
Le mardi, Margaux, la très gentille hyperactive, Pense que demain, elle aidera sa maman à ranger la maison Et, qu’à défaut d’assouvir ses désirs de grande sportive, Il vaut mieux que pour l’heure, elle aligne les torchons !
Le mercredi, Maëlle pense qu’après la petite, il y a la grande Ecole Et qu’elle se forge progressivement un caractère de journaliste, Elle qui accueille toutes les nouvelles de façon très optimiste Et les rétrocède très facilement, en échange d’une pate molle !
Le jeudi, aux aurores, Manu se lève toute guillerette, Car c’est le jour où elle va chez Mamie Nicolette. À midi, elle se retrouvera à table avec ses grandes sœurs, Et puis, fera la sieste sur le canapé, pour notre plus grand bonheur !
Alors, mon petit Gabichou, il te reste Le Vendredi. À toi, de le dire à tes parents ce que tu veux faire, Pour que, lorsque tu auras quitté le sein de Marie, ta mère, Ils t’autorisent enfin à pratiquer le … rugby !
Gabriel, nous t’accueillons avec joie dans notre grande famille, Et te remercions pour ce baptême qui nous permet de nous réunir Et, avant que chacun, vers ses obligations soit obligé de repartir, N’oublions pas de louer le Seigneur, mais aussi les myrtilles.
Pour rappel : Lorsque par Assas, de leur avenir, ils ont été enfin rassurés, Marie est partie à Bordeaux, une année, pour faire ses humanités, Benjamin, lui, en internat à Montereau, pour acquérir sa dignité, Puis, puis, avec la bénédiction de Jean Mareschi, ils se sont mariés.
À Noël, de l’heureux évènement, nous avons été prévenus ; C’était un doux secret qui ne devait absolument pas être répandu, Et quand la petite Louise a eu calmement terminé sa nidation, Nous, les Grands parents, avons été autorisés à diffuser l’information.
Alors, petite Louise a grandi dans le ventre de sa Maman Qui elle, savait tout, tout, de son futur accouchement … Docile, elle s’est cependant laissée guider par un beau Maître Nageur Qui lui a tout appris ; à respirer, à souffler, et à ne pas avoir peur …
Soudain, dans l’après-midi du 13 août, on a entendu Marie crier : "J’ai fait une petite Louise !" À quoi Benjamin, à ses côtés, offusqué, un peu vexé, a rétorqué : "Nous avons fait une petite Louise !"
Petite Louise habite et grandit à Vanves, avenue Victor Hugo. Toilette rapide et petit câlin le matin, avant de partir très tôt Chez Sandrine, pour y passer la journée et découvrir la Vie, La Vie que l’on mène, lorsque l’on a des parents très pris …
Le soir, Loulou revient vivre calmement dans l’amour de ses parents Et, pendant son bain, imagine dans sa tête bouclée, ses neuf cousins/cousines, Venant bientôt la chercher, pour faire un grand jeu en dansant Ou peut être, une longue partie de clume/cache/cache, coquine.
Aujourd’hui, Loulou, tu as été accueillie dans la Maison du Seigneur, Au sein d’une autre très Grande Famille, celle des baptisés. Tous rassemblés, nous t’adressons nos meilleurs vœux de bonheur, Et te souhaitons une longue et belle Vie, pleine de félicité.
On m’a dit, Paul, que tu avais frappé une ou deux fois à la porte Avant que tes parents ne demandent au Bon Dieu qu’il leur apporte Après une petite Louise, adorable, première de la crèche et bien élevée, Un petit garçon, très éveillé, les empêchant de dormir car très affamé.
Et, voilà qu’un premier octobre, à ton tour, on t’a entendu crier Que tu arrivais pour tenir ton rang de troisième petit PAILLER Susceptible d’exporter, par delà les frontières, le nom de la famille Ce que, bien sûr, on les aime toutes, ont bien du mal à faire les filles.
Comme tu as choisi comme marraine une dame polyglotte, Tu as décidé d’apprendre et de t’intéresser très tôt à l’Islam Et, tous les matins lorsque tu dis bonjour à ta sœur, la cocotte, On l’entend qui à ton : « Salamalekum » répond « Alekum Salam ».
Comme tu as choisi comme parrain un valeureux guerrier, Te voilà, grand et fort, prêt à faire tes humanités et affronter Le monde féroce dans lequel, t’ont accueilli avec joie les baptisés, Grâce au Père Jean, venu exprès de Najac. Qu’il en soit remercié !
Jeanne est arrivée à Vanves, le 24 juillet. Alors, il a été décidé au sein de la tribu Pailler Que ce ne serait plus le jour de la Sainte Anne Mais bien, celui de la Sainte Jeanne !
Dans l’enthousiasme général, Ben a décidé de déménager Pour donner à chacun plus d’aisance et de facilités En termes de transport et de crèche à trouver Et c’est au Mesnil le Roi qu’ils se sont installés !
On connaissait la cane de Jeanne On savait que Jeanneton avait une faucille On se souvenait de loin de Jeanne Quilien et de Jeanne Poulain, D’encore plus loin de Jeanne Bouju et de Jeanne Menanteau
Et plus près de nous, de Jeanne Berthoux.
Mais, aujourd’hui, c’est bien Jeanne Pailler Que nous accueillons dans la grande famille des baptisés. Le Père Mareschi n’est malheureusement plus là pour officier Mais Thierry l’a grandement et talentueusement immortalisé
Grand bonheur, ce jour merveilleux nous permet de retrouver
Des amis que nous avions perdus de vue Après avoir fait leur connaissance dans les brumes froides d’un Pays perdu ! Puis, chacun était parti vers ses responsabilités Et après s’être mariés, avait aussi fait des bébés.
Qu’ils soient remerciés de leur présence et de leur témoignage d’amitié. Forts de l’existence maintenant d’une petite Jeanne très aimée Nous saurons dire tous ensemble très fort et de façon désespérée Si d’aventure, nous devions y avoir recours !
"Jeanne au secours !"