Évènement au programme des classes de Terminales, il doit donc être connu de nos plus jeunes et à l’image de la table ronde sur la "Guerre d’Indochine, une guerre oubliée", imaginée il y a deux ans, il apparait intéressant de débattre de la "Guerre d’Algérie" malgré leurs nombreuses différences politico-militaires et géopolitiques.En effet, une différence essentielle est que le traitement du conflit, d’abord considéré comme une opération de maintien de l’ordre, a fait appel au contingent …
Le livre « Michel Debré, l’architecte du Général », sert de socle à cette conférence qui sera surtout riche des débats avec la salle. Ils ont porté sur la personnalité de Michel Debré mais aussi et surtout sur l’épuisement hypothétique d’une cinquième république qui pourrait être remplacée par une nouvelle constitution…
Selon les analystes, historiens et politiques, la guerre d’Indochine n’est pas une guerre comme les autres si tant est que les guerres, deux guerres puissent se ressembler. D’un avis commun, elle est méconnue parce que sans doute difficile à expliquer, voire à comprendre.Pour tenter de l’expliquer, la conférence a tourné autour des réponses à trois questions : Pourquoi la guerre d’Indochine ? Les aspects politico-militaires de la guerre d’Indochine, Les lendemains de la guerre d’Indochine…
Table ronde portant sur les aspects biologiques, artistiques, spirituels et sociaux de la Normalité de la Vie.
Débat autour des réponses à cinq questions : • quel est le socle de l’intolérance ? • la guerre est-elle toujours synonyme d’intolérance ? • que peut-on faire pour instaurer plus de tolérance ? • la tolérance mène-t-elle sur la voix de la paix ? • y a-t-il un déterminisme à l’exclusion, à la souffrance, au racisme et peut-on y répondre par la créativité ?